No show off intend with this post. I simply try to , like i did with my Liszt - Christus album , to centralise the review for a real practical reason.
Unfortunately my website "review" section is very exaustive , but ... not very practical.
I hope in this way, it will be then way easier for everyone
Reviews :
Seth
Colter Walls (Rhapsody.com)
- RHAPSODY
- TOP 10 CLASSICAL ALBUMS, APRIL 2015
Nicolas
Horvath has launched the first volume of a planned series,
Glassworlds, with an album that includes a buoyant performance of
Glass' Orphee Suite.
Remy
Franck
(Pizzicato.lu)
Die
technische Herausforderung an den Pianisten ist gewaltig, bereitet
aber dem monegassischen Pianisten Nicolas Horvath keine Probleme.
Seine Virtuosität ist stupend
International
Piano (june
2016) 5
Stars
‘Expert
performances.’
C.
Michael Bailey
(All About Jazz, April 2015)
Glassworlds
I promises to be a comprehensive look at the whole of Philip Glass’
piano art. Horvath takes great care in his articulation of the volume
dynamics of the piece, treating the music gently were required and
with muscle where appropriate. It will be a treat to hear what is on
Glassworlds 2.
Patrice
Imbaud
(L'Education Musicale - Mars 2016) "A
découvrir absolument !"
Si
certains esprits critiques se plairont à souligner la faiblesse
compositionnelle de ces pièces, nul ne pourra mettre en doute la
magie de l'interprétation de Nicolas Horvath qui nous avait déjà
séduit avec son dernier enregistrement lisztien. Rigueur dans la
progression rythmique, virtuosité et délicatesse du toucher, poésie
de la ligne tout y est pour affirmer haut et fort la profonde
affinité existant entre le pianiste et le compositeur américain.
Une merveilleuse façon d'entrer dans le monde si particulier de
Philip Glass.
Dionys
(Inactuelles)
Le
pianiste nous entraîne loin des lectures sages, compassées qui
réduisent Philip Glass à une icône de la musique minimaliste ou
répétitive. Primat à la sensibilité sur la technique
compositionnelle !
C'est
bien ce que l'on entend dès Opening (1981), une des plus célèbres
compositions de Glass, plus contrasté m'a-t-il semblé que sous les
doigts du compositeur, avec des moments de retenue très beaux joints
à une incroyable délicatesse de toucher, une grâce brumeuse, des
montées plus intenses. Une très belle relecture, qui nous prépare
à l'étonnante "Orphée Suite", arrangement par Paul
Barnes pour le piano d'extraits de l'opéra de chambre en deux actes
Orphée d'après Jean Cocteau. Rappelons au passage que Philip Glass
a terminé ses études musicales à Paris, sous la houlette de Nadia
Boulanger, qu'il parle assez bien français et connaît notre
culture, d'où son intérêt pour Cocteau, auquel il consacrera une
trilogie. Étonnante, cette suite ? Elle combine ragtime tumultueux
et mélodies envoûtantes comme celle de "Journey to the
Undeworld", vision infernale à la beauté trouble, très
inattendue dans l'œuvre de Philip Glass. Même "Orphée and the
Princess", a priori plus dans les clichés glassiens, est aérée
par le toucher précis qui fait ressortir chaque note, par l'énergie
des montées, la profondeur des moments graves. Toute la suite est
tranfigurée, portée par un charme irréel qui se résoud en une
atmosphère vaporeuse traversée d'élans émouvants dans la dernière
section "Orphée's Bedroom Reprise".
Dreaming
Awake, pièce de 2003, si elle ressemble plus à du Glass, surprend
par une fougue étincelante, une inventivité mélodique que j'ai pu
entendre sous les doigts du compositeur interprétant quelques unes
de ses récentes Études pour piano lors de son récent concert à La
Comète de Châlons en Champagne. Ce premier enregistrement mondial
est superbe, brassant les émotions les plus diverses avec une grande
palette de couleurs au long des quatre mouvements, surprenant par un
savant jeu de reprises et d'amplifications.
Le
programme se termine avec une longue pièce de plus de trente minutes
datant de 1968, How Now, représentative du style répétitif de
cette période, mais également influencée par les ragas indiens,
les gamelans indonésiens. Le piano s'y fait percussif, le jeu
roulant des notes produit des champs harmoniques denses, d'où son
côté hypnotique. Le piano devient portique de cloches folles
agitées par le vent. Musique extraordinaire, qui suscitera sans
doute de violents rejets de la part de ceux qui voudraient n'y
entendre que le retour du même, tout à fait enthousiasmante pour
les autres, dont je suis, ravis d'être transportés dans cette série
d'escalades vertigineuses, dans cette houle illuminée, ce
martèlement pourtant assez différent de celui d'un Charlemagne
Palestine. C'est un chemin violent d'ascèse, un dépouillement, sans
cesse à reprendre pour atteindre l'extase.
Un
disque magistral, éblouissant, fort intelligemment conçu de manière
non chronologique pour présenter toute la diversité de l'œuvre de
Philip Glass, ce jeune compositeur de plus de 87 ans. La rencontre
d'un immense compositeur et d'un non moins immense pianiste, qu'on se
le dise ! Sans oublier le piano, un Fazioli, à la musicalité
exceptionnelle !!
David
Denton
(David’s Review Corner)
Glass
was to embrace every genre, though as he composes at the piano, he
has contributed much for keyboard. Certainly an acquired taste, but
one which you have to become acquainted, the opening of Glassworks
having a delicacy that reminds one of Debussy. With jazz introducing
a different slant to the opening of the suite from Orphee, this too
largely relies on quiet nuances. The opera, from which it is taken,
points to Glass’s quite considerable and critically acclaimed
contribution to the stage. The ‘hard nut’ to crack, for those
just coming to Glass, will be How Now, a score that lasts for over
thirty minutes, its highly repetitive nature requiring the
French-born pianist, Nicolas Horvath, to breath life into it.
Basically the music does not demand a prodigious technique, though
the ability to shade music with an infinite number of sounds is a
prime requisite. Here we have such remarkably smooth crescendos and
diminuendos, you would almost construe they were electronically
created. The engineering is excellent.
Piano
Bleu
Inutile
donc de vous commenter les qualités d’interprétation de Nicolas
Horvath, un pianiste qui semble ici complètement et parfaitement «
chez lui » avec cette musique dans laquelle il met beaucoup de sa
sensibilité personnelle.
Seth
Colter Walls (Rhapsody.com)
On
this all-Philip Glass album, young pianist Horvath has the honor of
giving the recorded premiere of « Dreaming Awake, » a pleasant 2003
piece that breaks no new ground. Much more interesting is his take on
Glass’ « How Now, » which dates from 1968. Glass himself once
played this uber-minimalist opus with a brittle, buzz-saw synth —
though Horvath goes in the other direction, managing to sound both
nervy and graceful on a resonant grand piano. And while his teasingly
languorous performance of the Orphee Suite flirts with lassitude, he
keeps the work’s essential momentum going.
Rodolphe
Bruneau-Boulmier (En Piste ! 8 Février 2015)
En
passant par l œuvre pour piano que l on peut découvrir aujourd'hui
grâce à Nicolas Horvath , excellent pianiste qui se lance dans une
intégrale , c'est le premier volume pour le label Grand Piano. Il
faut dire que Nicolas Horvath c'est l'un des grands interprètes de
ce répertoire qu'il défend depuis des années en récital
principalement et il donne aujourd'hui une vision très chaleureuse
de cette musique qui lui retire un peu ce coté mécanique que l'on
peut parfois trouver à la musique de Philip Glass pour lui
installer une sorte de rubato de lyrisme même. à cette musique que
l'on peut parfois trouver un petit peu froide.
C'est
le début d'une belle intégrale en tout cas c'est le premier volume.
C'est
lui qui écrit la notice de ce disque , on sent un véritable amour ,
il dit qu'il la joue depuis des années , qu'il se lance dans cette
intégrale et j'ai l impression que c 'est vraiment un interprète
privilégié aussi pour la musique du XXI ème siècle et du XX ème
siècle , on va suivre ceci avec intérêt
On
a là en plus une très belle prise de son.
Infodad.com
(March
2015)
Nicolas
Horvath brings as much care and sensitivity to the piano version of
How Now…as to the much more dramatic Dreaming Awake …
JPC.de
Nicolas
Horvath ist unter anderem bekannt für seine viel gelobten
Liszt-Einspielungen auf dem Label Editions Hortus. Aber immer wieder
realisiert der Monegasse auch Projekte abseits eingetretener
Klassikpfade, so etwa ein Album mit einem Soundtrack zu H. P.
Lovecraft's Fantasy-Geschichte »Dreams in the Witch House« in
Kollaboration mit einer Dark Ambient-Rockband.
Philip
Glass' Klavierwerke sind bei Horvath also in den besten Händen, denn
in seiner Persönlichkeit vereinen sich spieltechnische Könnerschaft
und das gewisse Quäntchen Pop-Feeling, das man für Glass'
minimalistische Klanglandschaften eben auch benötigt.
Stephen
Smoliar
(Examiner.com)
There
is no shortage of excitement in […] performances.As a result, my
greatest pleasure come from Horvath’s performance of Barnes’
suite based on Glass’ opera. ...Horvath [...] bring[s] an
accessibility to Glass’ music that affirms that his years of
youthful provocation have long passed.
La
Nuit Magazine –
18 Septembre 2015
Le
brillant pianiste français Nicolas Horvath nous propose une plongée
dans l’univers feutré du compositeurs américain Philip Glass.
Outre
la technique remarquable du pianiste que l’on peut apprécier dans
ses interprétations virtuoses des oeuvres de Franz Liszt, on savoure
ici la sensibilité de son touchée, et sa vision simple et épurée
de cette partition que l’on ressent dès les premières notes d'
»Opening », pièce écrite en 1981 et qui reste a ce jour l’une
des plus connues du compositeur. Sous les doigts de Nicolas Horvath,
« Glassworlds vol1 » parait plus contrasté qu’à l’habitude,
le musicien y injectant une grâce brumeuse et toute en retenue qui
contraste avec des émotions intenses, une très belle relecture.
Un
disque magistral qui vous fera découvrir une partie des multiples
facettes de cet immense compositeur portée par la maestria de son
brillant interprète. Le piano Fazioli utilisé lors de
l’enregistrement nous rappelle a quel point la marque italienne
manufacture des merveilles, tant pour leurs capacités musicales, que
leur puissance sonore, leur robustesse implicite, ainsi que pour leur
finition et leur extrême raffinement. À découvrir sans plus
attendre.
cdconnection.com
Top
100 Classical - Fastest Selling Classical CDs April 23, 2015 :
GlassWorlds #19
AudioNec
For
all the piano lovers and contemporary music, this CD is a must have.
Perfect play of Philip Glass’s music with a kind of eternal candle
to light it inside. Perfect sound and recording of a Fiazoli Grand
Piano with all the harmonics and exceptional dynamic of this unique
instrument.
fnac.com
Top
50 Classical Best Selling Classical CDs May 6, 2015 :
GlassWorlds #42
Chris
Morgan (Scene
Magazine, July 2015)
Pianist
Nicolas Horvath exhibits skill and inventiveness in his performance,
qualities which allow him to go wherever the music leads
Rob
Haskins
(American Record Guide, July 2015)
…the
disc is important because it demonstrates that Glass’s music works
quite nicely alongside other composers of the past and alongside
quite traditional approaches to performance generally
Christian
Williams (Utne
Reader, May 2015)
Considered
one of the most sought after classical pianists of his generation,
Steinway Artist Nicolas Horvath is always looking for bigger
challenges. His latest release, Glassworlds Vol. 1, sees him taking
on more of Glass’ complex minimalism with aplomb.
Mike
Shooter
(La Vos de los Vientos)
La
aproximación de Horvath a la pieza [Opening from Glassworks] es
profundamente lírica, con un sentimiento que cuesta adivinar en
otras versiones, incluyendo la del propio compositor.
La
sola presencia de “Dreaming Awake” sería motivo más que
justificado para que el seguidor de Glass se acercase a esta
grabación. El resto del repertorio, sin ser tan “raro” no está
entre lo más interpretado de su autor lo que convierte a este primer
volumen de “Glassworlds” en un interesante punto de partida para
una serie que puede atraer por igual al neófito y al experto.
Estamos seguros, además, de que el seguidor habitual del blog
encontrará en él muchos motivos de disfrute.
Michel
Dutrieue (Klassiek
Centraal - 30/05/15 ) ranking :
****
Na
de opening van Glassworks (1981) volgt het arrangement voor piano
solo van pianist en eveneens Liszt vertolker Paul Barnes (°1961) van
de Orphée Suite uit 2000. Ritmische ostinati, trance achtige
arpèges, etherische melodieën, toonladderfiguren en harmonische
progressies wisselen elkaar af of volgen elkaar op. De suite bestaat
uit The Cafe in verrassende ragtime stijl, het wazige en fragiele
Orphée’s Bedroom met het Gluck citaat dat uitmondt in het
gelijkaardig Beethoven citaat uit diens Mondschein, het mysterieuze,
Chopin prélude-achtige Journey To The Underworld, het elegante
Orphée And The Princess met zijn innemende dalende toonladder, het
tremolerend, repetitief Return To Orphée’s House, het aarzelend,
meditatief en vredig Orphée’s Return en het magisch, bedwelmend
Orphée’s Bedroom.
Dreaming
Awake, verklanking van verdriet, angst en wanhoop uit 2003, is hier
voor de eerste keer opgenomen. De orgelachtige klank van How Now uit
1968 (een goeie 30 min.) klinkt door al Glass’ typische
stijlkenmerken, hypnotiserend. De compositie betekende het begin van
Glass’ minimalistische, repetitieve muziek en besluit op deze cd
wat pianist Nicolas Horvath in de tekst van het bijhorend boekje
omschrijft als “the experience of the divine feeling of love”.
Colin
Clarke (
International PIano n°31 May-June 2015 ) ranking :
*****
Somehow,
the objectivity of the sound of a piano suits the music of Philip
Glass perfectly. Certainly that's how it seems in Nicolas Horvath's
expert performances on this, the first of a series of Glass
Recordings.
The
Opening from Glassworks (1981) exudes calm in its echt-Glassian
construction. The programming is impeccable here, with the first
movement of the Orphée Suite, The Café, at once immediately related
to Glassworks but more external, more ragtime.
If
the delicacy of Orphée’s Bedroom is as heady as the most
Impressionist perfume, it could hardly stand in higher contrast to
Orphée’s Journey to Hell , a nightmarish tone poem that
immediately makes clear the composer’s affi nity with film (one is
reminded of his awe-inspiring soundtrack to the 1931 Dracula). The
sheer beauty of the melodic line of Orphée and the Princess is
stunning in this performance, while Orphée’s Return finds myth
morphing into fairytale.
Dreaming
Awake (2003) is a world premiere recording, in itself making this a
mandatory purchase, and Horvath projects the music’s energy
perfectly. The much earlier (1968) How Now comes up against stiff
competition in the shape of Schleiermacher (Dabringhaus). Influenced
by Indian raga and gamelan as well as jazz, How Now is a virtuoso
piece in which the piano seems to transcend its own boundaries and
where the sustaining pedal transports the listener to whole new
worlds. Horvath in no way loses out to Schleiermacher. Volume 2 is
eagerly awaited.
Gramola.at
Philip
Glass’ Klavierwerke sind bei Horvath also in den besten Händen,
denn in seiner Persönlichkeit vereinen sich spieltechnische
Könnerschaft und das gewisse Quäntchen Pop-Feeling, das man für
Glass’ minimalistische Klanglandschaften eben auch benötigt.
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