As i am sure you started to understand it by now, 8 months ago i released my 1st solo album, with the incredible piece of one of my beloved composer : Christus.
I deeply thank the wonderful Leslie Howard to have introduced me to this work some years ago as, when i met the master, i still didn't know about this piano version.
I can guess that you might think, how much pretentious of me it is to write on my blog, after introducting so great composers, all those press reviews.
Well i must confess that i really have to do that. As most of my fans already compain endlessly, my website is not updated since months, and no i am not dead and still continue my journey with the 88 teeth dragon as Raymond Lewenthal used to say (or Ronald Smith ???)
So with a totally outdated website, i am really not able to post all the press reviews, not giving any news and .... i agree with you, it should be the place.
Time to time i am doing it on Facebook , but not everybody has Facebook or has access to those data.
Enough useless talk those are the press review of my Liszt - Christus album !
a nice picture first :)
After 4 months after the release date, the 2nd press was sold out everywhere.
I am still waiting for a 3rd press...
Anyway you can finally download it here :
or listen for free here:
all details :
Franz Liszt - Christus (version pour piano seul)
Nicolas Horvath
Label: Hortus
ASIN : B00AA2GOHG
And now the press release (last update is octobre 2013):
Let start with the wonderful page Piano Bleu did on my recording (with an interview !), as it was a "cd of the week" on this great website !
ResMusica
(11
Mars 2013) par Nicolas Mesnier-Nature. Note: 5/5
– A Emporter
Le
pianisme sûr de Nicolas Horvath, remarqué par Leslie Howard, grand
lisztien encyclopédique, réussit à construire un ensemble cohérent
de ce qui aurait pu virer en mosaïque déstructurée. Des multiples
facettes de cette fresque religieuse en ressort une musicalité
générée par une aisance certaine à rendre nettes les parties
chargées du texte et à éviter de remplir inutilement de son les
plus volontairement dépouillées.
Un
travail intelligent qui sort du quotidien destiné aux lisztiens
avertis..
Diapason
(Avril 2013) par Laurent Marcinik. Note: 4
Diapasons
Sens
du récit, pédale économe, richesse de la pâte sonore et
caractérisation intelligente des différents plans. Rien à redire
aux rafales terrifiantes de la tempête du Miracle,
ou au chromatisme titanesque de Tristis
est anima mea,
qui convient beaucoup mieux à la personnalité de Horvath. Coup de
chapeau pour l'hymne O
Filii et Filae
conclusif, antipianistique au possible mais tendrement suggéré ici.
Un artiste à suivre.
Fanfare
(July
2013) par Jerry Dubins
Horvath’s
playing is simply jaw-dropping. His dynamic range knows no bounds—you
won’t believe it’s possible for one pianist playing one piano to
make sounds like this—and there are moments where you’d swear
that Horvath has to have more than 10 fingers. But he’s by no means
all glitz and no substance. He penetrates and illuminates the quiet,
contemplative passages with the intensity of a highly focused beam of
light.
The
recording has to be one of the most phenomenal piano recordings I’ve
ever heard. This is not the sort of music or program that ordinarily
shows up on my annual Want Lists, but this one might just be an
exception. Urgently recommended.
Philadelphia Citypaper (26 decembre 2013) par Peter Burwasser Top 10 classical albums of 2013
Liszt reduced his massive oratorio on the life of Christ to solo piano. For some reason, it is rarely performed, but it is a quietly powerful masterpiece. French pianist Horvath makes it sing.
Fanfare
(July 2013) par Colin Clarke
This
disc offers a unique contribution to the discography: more, it is a
musical triumph.
Piano Bleu
CD of the week
Audiophile
Audition (03 Juin 2013) par
Gary Lemco Note : **** Rifle with wonder and
mystery
Pianist
Nicolas Horvath realizes Liszt’s monumental Christus oratorio as an
eight-movement cycle of religious devotion and keyboard wizardry,
always in epic proportions.
La
Lettre du Musicien (Juin
2013 n°434) « Nicolas
Horvath : un oratorio au bout des doigts »
Un
enregistrement particulièrement cohérent qui rend justice à cette
musique inspirée que Liszt considérait comme l'un des sommets de
son art
Changez
de disque (France Musique 03
Avril 2013) par Emilie Munera
Grand
poème mystique qui représente vraiment le Liszt de la dernière
période , on est loin de ce qu'on entend d'habitude, du grand
romantisme , là on est plutôt dans l épure avec une musique qui se
fait extrêmement moderne par endroits. Cette œuvre est connue
Nicolas Horvath en a donc tiré trois extraits inédits
Choix
audacieux, très intéressant fait par ce jeune pianiste, trois
morceaux restés inédits. Pas le Liszt le plus facile, peut être
plus pour les initiés. Et c'est l'occasion de découvrir Nicolas
Horvath.
Fanfare
(September 2013) par Peter
Burwasser
The
apparently simplistic construction conquered me with stealth beauty.
I’ll give Horvath, a very fine young French artist, a good share of
the credit for his ability to portray an almost naïve sense of awe
in the music, which can seem both child-like and wondrous.I did end
up listening to the original full choral version of Christus
(the Rotterdam/Conlon
performance). I am glad to come to know this strangely beautiful
work, but, somewhat surprisingly, it did not reduce my affection for
this solo piano version, which I find to be mysteriously bewitching.
If this were an LP, I would have worn it out by now.
Radio
Notre Dame (Mars
2013) par Delphine Freyssinet - Disque
du mois
Le
pianiste Nicolas Horvath présente ici au disque une
magistrale version pour piano solo en première mondiale : c’est
une découverte passionnante qui permert de suivre et d’approfondir
les intentions les plus intimes et le message musical le plus
exact du compositeur dans ce cycle musical d’une superbe
authenticité tant musicale que religieux. A recommander ...
Lexnews
(Mars
2013)
Nicolas
Horvath, brillant pianiste particulièrement inspiré par la musique
de Liszt et remarqué par le grand Leslie Howard, s’est attaqué à
cette œuvre monumentale, pour notre plus grand plaisir, car il n’est
pas toujours chose aisée, même avec l’art de Liszt, de donner
autant d’intensité à une transcription de 70 minutes en
comparaison des trois heures de l’œuvre pour orchestre que l’on
a en mémoire à l’écoute de ce disque… Et pourtant le résultat
est saisissant, car le pianiste parvient à redonner souffle à une
narration ciselée de nuances, où chaque tableau émerveille
l’oreille autant que l’imagination. Nicolas Horvath surprend par
cette grande maturité qui lui permet d’insister sur les instants
précieux tels ce Chant
des bergers à la Crèche
digne des plus belles évocations de Lorenzo Costa dans la peinture
de la renaissance italienne ou encore ce majestueux Tu
es Petrus.
Et que dire de ce passage si fort Tristis
est anima,
une douleur évoquée par les accords graves répétés, avec des
accents qui préfigurent les dernières œuvres de Liszt (Nuages
gris,
Unstern...).
On-Mag
(14
Mars 2013 ) par Yvette Laval. Note: 5/5
Au
final, de même que Karl Valentin disait que toute pièce de théâtre
doit raconter l’histoire du théâtre, de même ce « Christus »
pour piano se révèle être, en même temps qu’un oratorio sur le
Christ, un oratorio sur l’histoire de la musique liturgique. Et
Nicolas Horvath l’a bien vu. La cohérence de ce CD est évidente.
Musical
Toronto (13
juin 2013) par John Terauds - Nicolas
Horvath’s brave journey through Franz Liszt’s Christus
Monégasque
pianist Nicolas Horvath is building a career out of making sense of
the difficult — be it new music or the later works of Liszt. In his
début album issued on the Éditions Hortus label, Horvath does a
double-Liszt with the composer’s own piano-solo transcription of
his massive oratorio Christus,
published in 1872. These transcriptions essentially meld choral and
instrumental parts into plenty of work for 10 fingers. There are
gorgeous moments when Liszt reaches back to the simplicity of
plainchant. There also are extravagant dramatic outbursts with
crashing chords and and virtuosic runs. But the bulk of the music is
a quilt of meek-and-mild episodes sprung from the composer’s
fertile imagination — more noodling than drama. Horvath approaches
the music with breathtaking dexterity and gives it momentum wherever
he can find some. Here is a pianist with a powerful sense of where
his interpretation needs to go.
L’Éducation
Musicale (Avril
2013) par Patrice Imbaud.
Superbe
interprétation de Nicolas Horvath qui sait laisser place à la
musique, ne sombrant jamais dans une vaine et quelconque virtuosité,
exaltant par son jeu toutes les facettes de cette partition complexe,
véritable parcours initiatique. Tour à tour orchestral ou
confident, son piano, toujours juste et expressif, sait respecter les
silences et les articulations pour donner à cette œuvre toute sa
beauté, parfois aride, et sa transcendance. Un disque rare et
indispensable à tous les amoureux de Franz Liszt.
Utmisol
(Mars
2013) par Danielle Anex-Cabanis Christus
– poème symphonique pour piano
Nicolas
Horvath, dont on connaît l’engagement pour la musique
contemporaine dans laquelle il excelle, monte ici une nouvelle
dimension de son talent par un jeu d’une grande richesse. Il
alterne douceur et subtilité avec des effets sonores plus amples
exigeant une maîtrise technique exceptionnelle, car l’œuvre est
complexe, tant Liszt l’a chargée d’un message profond, une sorte
de synthèse de tout ce qui est essentiel pour lui. Peut-être même
que, même si six chants sont absents, ce condensé a une profondeur
plus grande, parce la musique est plus épurée. C’est en tout cas
un très bel enregistrement
Piano
Addict – Great find
Larkreviews
(Février
2013)
Christus
is rarely heard in its oratorio form, and this arrangement of eight
movements for piano is even rarer. However it draws on Liszt’s
lifetime of experience as both composer and believer to bring a
subtlety and conviction which in other works can appear bombastic.
The simplicity of Pastorale
, the might of the Foundation
of the Church
and the unexpected gentle warmth of the Easter Hymn all seem more
persuasive in piano version than the full choral epic.
L'1nvisible
(Mai
2013)
Dans
ce merveilleux CD, toute la douceur du piano de Liszt nous fait
pénétrer par les sens dans le mystère de la vie du Christ. Laissez
vous faire: ça file des oreilles tout droit vers le coeur... L'âme
est comme soulevée par l'émotion qui se dégage de ce poème
symphonique. La foi pénètre aussi par la beauté.
Francis
Benoît Cousté (Mars 2013)
De
ce monumental poème symphonique en trois parties, retraçant la vie
du Christ (Oratorio de Noël, Après l’Épiphanie, Passion et résurrection,
1862-1866), il existait une version pour piano solo, dont voici le
premier enregistrement mondial. En huit parties, cette fois:
Introduction, Pastorale, Chant des bergers à la crèche, Marche des
rois mages, La fondation de l’Église, Le miracle, Tristis est anima
mea, O Filii et Filiæ. Merci à l’excellent pianiste qu’est
Nicolas Horvath de nous restituer ces pages de haute spiritualité.
Sans les
ordinaires "effets de manche", propres - chez Liszt - à
tant de ses confrères...
Music
Broadway World (14 Mai 2013)
French
pianist Nicolas Horvath is heard in his recording debut with this
fascinating solo piano version of Liszt's monumental oratorio
Christus.
Église
de Beauvais – revue diocésaine (
Juillet - aout 2013) par Jacques Yvert
Nicolas
Horvath, jeune pianiste au talent exceptionnel, réussit à
reproduire le dépouillement voulu par le compositeur pour cette
fresque religieuse. Cet enregistrement du Christus
de Liszt restera sans doute l'une des meilleures interprétation de
cette œuvre.
Paulinus
(21
Avril 2013) par Christoph Vratz - Oratorium
für 20 Finger
Nun
hat der monegassische Pianist Nicolas Horvath dieses Werk in Auszügen
in einer Klavierbearbeitung vorgelegt – wer die entsprechenden
Gesangstexte vermisst: Sie werden im Beiheft nachgereicht. So klingt
das Oratorium in dieser rein instrumentalen Fassung natürlich
schlanker, durchsichtiger, transzendenter.
Classical-Modern
Music Review blogsite (31
Juillet 2013) par Grego Applegate Edwards
The
end experience is quite moving and orchestral in breadth and expanse.
Nicolas Horvath handles the music with all the versatility,
sensitivity, passion and technical heroics the music requires. It's
most definitely a revelation to hear the complete eight-part piano
version performed in its entirety. And Horvath triumphs in so doing!
Definitely recommended, for all Lisztians, solo piano aficionados and
those who want to experience the bridging of romanticism into
modernism. Fabulous!
L'Hébdo-Le
Comtadin (17
Octobre 2013) par Philippe Gut - Cd
coup de cœur: Christus
C'est
une transcription pour le piano de huit des quatorze pièces de cet
oratorio que l'on peut entendre sous les doigts d'une dextérité
merveilleuse de Nicolas Horvath qui a une connaissance approfondie de
l’œuvre pianistique de Liszt. (...) Une œuvre singulière, aux
sonorités somptueuses, admirablement rendues par un pianiste
d’exception.